Article sur la radicalisation violente

Maxime Bérubé, chercheur postdoctoral CHRS du projet SOMEONE et de l’Université Concordia, et son coauteur Benjamin Ducol de l’Université de Montréal, ont récemment publié l’article intitulé « Radicalization in arms? Exploring armed violence capital in the context of Quebec’s civilian military simulation communities » [Radicalisation dans les armes ? l’Exploration de la capitale de la violence armée dans le contexte des communautés de simulation militaire civile du Québec], dans le numéro de septembre 2019 de Global Crime.

S’appuyant sur une étude de cas portant sur des civils impliqués dans des simulations militaires, l’article suggère finalement que si le recours à une violence excessive nécessite une motivation idéologique, une radicalisation violente peut se produire sans elle.

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