Nos équipes de recherche et de création s’attaquent de front aux défis du discours de haine par le recours à des projets de pédagogie publiques et participatifs avec des collaborateurs de la communauté. Un de ces projets, Paysage de la haine, utilise un cadre d’improvisation multimédia dans le but de promouvoir et de favoriser la voix publique dans les dialogues pluralistes sur la façon dont nous négocions les différentes formes de haine dans notre société. En juillet 2019, les membres de Paysage de la haine et leurs amis du célèbre groupe de métal extrême américain Pig Destroyer, ont travaillé avec de jeunes collaborateurs de diverses communautés montréalaises pour créer des médias sonores et visuels décrivant leur engagement affectif avec des termes tels que la haine, la colère et le chagrin. Vous pouvez visionner un mini-documentaire sur cet atelier qui s’est tenu en marge du festival de musique Heavy Montréal ici :

Une autre de nos initiatives communautaires, Paysage de l’espoir, explore les limites de l’inclusivité des jeunes marginalisés en créant des espaces artistiques exclusifs pour leur permettre de diffuser leurs récits uniques. La première de Paysage de l’espoir a eu lieu en février 2019 à l’Université Concordia à Montréal. Vous pouvez visionner un mini-documentaire sur la façon dont les jeunes ont travaillé avec les membres de Paysage de l’espoir pour créer une installation et une performance uniques afin de construire une plate-forme pour magnifier leurs récits de résilience :